Tu marches, il marche, vous marchez… moi, je cours

Icône du sport français, Marie Dorin livre pour la première fois un texte personnel sur l’empreinte que la marche laisse dans sa vie. Dotée d’une imagination débordante, elle raconte sa fascination pour les animaux sauvages, ses souvenirs d’escapades plus vrais que nature, sa passion pour la connaissance de la faune et de la flore, et sa prise de conscience écologique accompagnée d’actes concrets. Un récit authentique et plein d’humour.Dans notre monde moderne, confortable et assisté, je trouvais incroyable d’être encore capable de se débrouiller seul dans la nature, de construire soi-même son abri, de trouver de quoi manger par ses propres moyens.., Ce qui me fascinait et ce à quoi je voulais m’indentifier était surtout la connaissance de cette nature permettant à l’homme seul d’être autonome et de survrire sans l’aide de la civilisation. De redevenir un animal en quelque sorte. Un animal pensant.